Notes for Joseph François Victor RÉGIS


#Générale#ʻ 7E49/3 vue352
https://archives.var.fr/ark:/73531/s00512dcf3599746/512dcf35ecab2


x 201E2116 F13 vue13 nʻ12
http://www.archives13.fr/ark:/40700/vta6926a0f42797333b/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_4048c5843fc5a46847d6dcd626f481f2#id:34457588?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00

+ 201E2888 R5 F10 vue10 nʻ36
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Notes for Joseph Marie "Marcel" RÉGIS


#Générale#ʻ 201E5359 F96 vue51 nʻ565
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Notes for Jules Henri Gonzague RÉGIS


#Générale#ʻ 201E4252 F195 vue28 nʻ1164
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x 201E5379 F116 vue7 nʻ222
http://www.archives13.fr/ark:/40700/vta3aa4fc22d56afb88/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_e681d3a2e5a524623197bc73ac87f1e1#id:1598891098?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=2182.394,-1099.927&zoom=7&rotation=0.000
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Notes for Louis RÉGIS


#Générale#Ce tanneur de Cotignac vint à Marseille en février 1793.
Il demeure avec sa famille : Maison 8 - Ilot 28 - 1 rue Thubaneau à
Marseille. Jean-Louis REGIS et son épous Elisabeth PIC, née à Trans en
Provence eurent 9 enfants.

ʻ 1MIEC859 vue69-70 bas de page droite
 https://archives.var.fr/ark:/73531/s00512dd94fa0d65/512dd94fab897

x https://www.geneanet.org/releves-collaboratifs/view/60916/871971 mais
introuvable dans les archives en ligne

+ 7E49/11 F11vue341 nʻ34
https://archives.var.fr/ark:/73531/s00512dcf3cb5f70/512dcf3d0e700
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Notes for Louis Marie "Thérèse" RÉGIS


#Générale#ʻ 201E2737 R2 F208 vue20 nʻ1245
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x 201E4550 R4 F45 vue12 nʻ87
http://ligeo.archives13.fr/ark:/40700/vtab651b8ae064e5cb2/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_a2bc25a625ff0b9f924fde2174adab95#id:524961345?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=845.160,-702.720&zoom=9&rotation=0.000

source +:
https://gw.geneanet.org/retienne?lang=fr&pz=robert+paul&nz=etienne&p=louise+marie+therese&n=regis
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Notes for Louis Théodore "Victor" RÉGIS


#Générale#ʻ 201E2529 Midi R2 vue122-123
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x 201E3180 R2 F105 vue6 nʻ202 Fabre
http://www.archives13.fr/ark:/40700/vtab3ecf5bfa869d84e/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_8cfee52746bf7477012688ca4fad0b29#id:1928828393?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=871.494,-698.689&zoom=9&rotation=0.000

Sans descendance de cette union, il se sépare de sa femme en 1868 à la
suite d'un procès retentissant.

+ 201E5298 R2 F176 vue44 nʻ1050
http://www.archives13.fr/ark:/40700/vta27781007edabf443/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_e2f65fe081f023781624db5719c2cffa#id:1867702692?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=705.910,-658.055&zoom=9&rotation=0.000


Victor REGIS (1803-1881) négociant-armateur
Régis, l'aîné
Son père Joseph-François (1767-1827), né dans une famille de marchands
tanneurs de Cotignac (Var), s'installe à Marseille en 1793. Il se lance dans
la fabrication des bonnets de Tunis, à laquelle il joint une petite
activité de négoceavec les Échelles du Levant et le Sénégal ; de
1809 à 1823, il est directeur de la Monnaie de la ville. Sa mère, Agnès
Blanc (1779-1852), est la fille d'un capitaine-marin de La Ciotat. Venu au
monde le 11 septembre 1803, Victor est l'aîné de cinq enfants : une de ses
surs épouse Jean-Baptiste Bérardi et sera la belle-mère du docteur
Augustin Fabre ; de ses deux frères, Pierre (1806-1853) dit ±l'Africain 
meurt célibataire, tandis que le plus jeune Louis (1812-1889) épouse Lucie
de Roux dont il a huit enfants qui assureront la transmission du patronyme.
Victor se marie en 1833 avec Félicie Fabre (1810-1893), sur du
négociant-armateur César Fabre. Sans descendance de cette union, il se
sépare de sa femme en 1868 à la suite d'un procès retentissant. Ses
trois enfants naturels héritent de sa fortune ; deux d'entre eux nouent des
alliances flatteuses, Victorine Mante (1849-1872) avec un neveu de Paulin
Talabot, Georges Renouard (qui épousera en deuxièmes noces une fille du
baron Haussmann), et Louis Mante avec la soeur d'Edmond Rostand. Le
troisième, Théodore Mante, qui fera carrière dans les affaires avec son
frère Louis, reste célibataire. Victor Régis meurtle19 mars 1881.
Un pionnier
Initié par son père, Victor Régis prend à vingt-quatre ans la
direction de la maison de commerce. Peu intéressé par la fabrique (qu'il
abandonne par la suite à son frère Louis), il reporte l'essentiel de son
activité sur le négoce auquel il donne une nouvelle orientation. Pour
cela, il s'associe successivement avec chacun de ses frères et avec un
négociant de ses amis, beau-frère de Louis, Jérôme Borelli, sous la
raison sociale Victor Régis Frères. Avec des voiliers puis de petits
vapeurs, il participe d'abord à la ruée des négociants marseillais sur
la gomme arabique dans les comptoirs de Saint-Louis et de Gorée au
Sénégal, d'où il est l'un des premiers dans les années 1830 à tenter
l'importation d'arachides à Marseille. Surtout, il inaugure en 1833
l'expansion marseillaise dans le golfe de Guinée. En dix ans, il organise
trente-quatre expéditions de troque sous voile vers la Gambie, la Guinée,
le Bas de la Côte, le Gabon; en 1847, un de ses navires fait même un
voyage de reconnaissance sur les côtes orientales d'Afrique, jusqu'en mer
Rouge. A partir de 1842, il crée une première factorerie à Whydah, au
Dahomey, bientôt suivie de plusieurs autres qui s'échelonnent de la Côte
d'Ivoire à l'Angola. En 1855, il fonde même un comptoir au Mozambique avec
la maison Augustin Fabre. Mais c'est sur l'huile de palme qu'il va finalement
bâtir sa fortune.
Important foyer de traite des Noirs, le Bas de la Côte voit ses échanges
désorganisés par les efforts de l'Angleterre désireuse de faire
respecter son interdiction et par la fermeture progressive de plusieurs pays
d'Amérique. Dès les années 1840, Victor Régis fait le pari audacieux
de substituer le commerce de l'huile de palme au trafic des esclaves. Mais son
plan se heurte aux réticences des savonniers marseillais et il doit
réexporter vers l'Angleterre une partie de ses premières cargaisons,
l'autre étant absorbée par la stéarinerie locale. Le pari n'est gagné
qu'en 1852 quand l'ingénieur Rougier met au point un procédé de
décoloration de l'huile de palme qui permet enfin son emploi par la
savonnerie marseillaise. C'est donc sous le Second Empire que le système
élaboré par Victor Régis peut enfin fonctionner. Au négoce et à
l'armement (il possède neuf navires en 1845, vingt en 1856), il joint alors
l'industrie en créant sapropre huilerie au quartier de la Madrague. Il
obtient une médaille d'or à l'Exposition universelle de Paris de 1855. En
Afrique, il concentre ses factoreries là où les conditions sont les plus
favorables et où il est, grâce à l'appuides souverains locaux, en
position de quasi-monopole : en 1869, il en possède une dizaine qui
s'échelonnent du Togo au Nigéria.
Le Second Empire est aussi pour Victor Régis l'époque de la
restructuration de son entreprise devenue Régis aîné et Cie. En 1847 en
effet, il se sépare de son frère Louis (celui-ci se consacre désormais
à la fabrique des bonnets de Tunis, à la minoterie, à la stéarinerie
et surtout à la gestion de ses propriétés rurales). Il perd aussi son
commanditaire Jérôme Borelli, qui décède en 1852. Il prend alors à
ses côtés le fils de ce dernier, Georges, et le neveu de son épouse,
Cyprien Fabre. Engagés comme commis en 1854, progressivement intéressés
aux bénéfices, ils deviennent ses associés en 1863. C'est l'époque des
profits fabuleux : à la vente, bénéfices de 120 % sur les prix de
facture; à l'achat, paiement de l'huile en cauris à 12 ou 15 centimes le
kilo, qui est revendu un franc à Marseille. ±J'ai gagné des millions dans
mon commerce, reconnaît Victor Régis. De fait, les bénéfices de la
seule année 1867 se montent à 1 270 000 F. S'y ajoutent des activités
non moins lucratives comme le transport tout à fait officiel d'±engagés
volontaires vers les Antilles françaises (en 1857, il obtient un contrat
pour la fourniture de 20 000 travailleurs noirs) et, à Marseille, la
spéculation immobilière lors des grands travaux d'urbanisme de la rue
Noailles où il réalise une substantielle plus-value en édifiant un
hôtel somptueux. Aussi, lors de son procès en séparation en 1868, les
tribunaux estiment-ils sa fortune à quinze ou vingt millions de francs. Dans
sa famille, on le surnomme ±Régis le Riche.
Pourtant des difficultés s'annoncent. Au Dahomey, c'est le début de la
concurrence française et surtout anglaise qui amène Victor Régis à
pousser au protectorat. A Marseille, c'est le problème du fret de sortie et
l'échec de son projet de création d'une compagnie à charte en 1856 ; ce
sont aussi (basse manuvre de la part de concurrents britanniques ou jalousie
de négociants marseillais envers l'un des leurs qui a trop bien réussi ?)
les accusations de traite plus oumoins déguisée dont il est l'objet à
plusieurs reprises ; c'est enfin, conséquence de ses démêlés
conjugaux, la rupture avec le clan Fabre et avec sa propre famille, qui a
noué de multiples alliances avec les Fabre. Après le départde Cyprien
Fabre en 1868, Victor Régis constitue une autre association avec Georges
Borelli ; en 1875, il y fait entrer ses deux fils naturels encore mineurs,
Théodore et Louis Mante. Cinq ans plus tard, il passe la main mais reste
commanditaire de la nouvelle maison Mante Frères et Borelli de Régis
aîné qui ne contrôle plus que 40 % des importations d'oléagineux de la
Côte, alors que Victor Régis en avait le monopole au milieu du siècle.
Il décède l'année suivante,à la veille de l'effondrement des
échanges avec l'Afrique.
Riche et influent
Il est alors considéré comme ±le plus riche de nos armateurs (un journal
de Marseille parle même de 40 millions !), ce dont la déclaration de
succession rend compte de façon fort incomplète. N'y figurent pas, entre
autres, les biens donnés à sa fille lors de son mariage (plus de 800 000
F) et une partie de son patrimoine immobilier, notamment le monumental hôtel
particulier qu'il s'est fait construire 7, rue de l'Arsenal (aujourd'hui rue
Roux-de-Brignoles), au curduquartier résidentiel et dont l'opulence affiche
la réussite de son propriétaire. Victor Régis possède aussi sa
bastide, ±La Buzine, que Marcel Pagnol rendra célèbre sous le nom de
±Château de ma mère.
A sa richesse, considérable, s'ajoute une grande notoriété. Certes, à
la différence de son frère Louis, Victor Régis n'a jamais exercé de
charges municipales ni joué un grand rôle dans le domaine de la
bienfaisance et de la charité, à l'exception de ses legs philanthropiques
et de sa présence au conseil d'administration de la Caisse d'épargne. Mais
il s'investit pleinement dans tout ce qui touche à ses activités
professionnelles : il siège quinze ans à la Chambre de commerce (1842-1849
et 1852-1860), dont il est le vice-président de 1856 à 1859 ; surtout, il
se fait l'interprète des intérêts marseillais auprès du gouvernement
qui le tient pour le grand spécialiste des problèmes de la côte
d'Afrique. Il est en relations suivies avec plusieurs ministères, se rend au
besoin à Londres, est reçu par l'Empereur aux Tuileries. Peu regardant sur
le régime politique ±pourvu que soient garantis le maintien de l'ordre et
le respect aux propriétés, Victor Régis est fait chevalier de la
Légion d'honneur sous la Monarchie de Juillet (1846) et officier sous le
Second Empire (1862). Intelligent, dynamique, novateur, il a, comme on se
plait à le reconnaître, ouvert la voie de l'Afrique occidentale au
commerce marseillais.
E. R. (source: https://gw.geneanet.org/carnac?lang=en&n=regis&oc=1&p=victor)
voir aussi http://pavillon.houseflag.free.fr/armateur%20R.html et
https://fr.wikipedia.org/wiki/Victor_R%C3%A9gis
https://www.cairn.info/revue-d-histoire-moderne-et-contemporaine-2010-1-page-139.htm
https://www.lesechos.fr/2013/07/marseille-premier-port-deurope-1098545
http://emig.free.fr/GENEALOGIE/Fig-Masson_Bouisson/Moustier-Vitalis/MM/C-R_PH-1992.pdf
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Notes for Marie Eugénie "Noélie" RÉGIS


#Générale#ʻ 201E5370 F65 vue32 nʻ385
http://www.archives13.fr/ark:/40700/vta7a7a72705424e419/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_0643ddf0d081bd2ce55778a44a3f6e35#id:1848583063?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1923.306,-1507.355&zoom=10&rotation=0.000
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Notes for Marie Françoise Emilie RÉGIS


#Générale#ʻ 201E2565 R4 F194 vue27 nʻ473
http://ligeo.archives13.fr/ark:/40700/vta57388f7912c4c7e0/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_51f2d072163081c8f3e24eb654fde33e#id:296599809?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1287.739,-1020.066&zoom=10&rotation=0.000

sources x et +
https://gw.geneanet.org/retienne?n=regis&oc=&p=marie+francoise+emilie
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Notes for Marie Thérèse "Mathilde" Jeanne RÉGIS


#Générale#ʻ 201E5531 F107 vue24 nʻ645
http://www.archives13.fr/ark:/40700/vtab933b79db173f4c3/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_9640bae991f69dc2afabbbb92f13f948#id:1822065043?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1047.712,-1262.023&zoom=9&rotation=0.000
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Notes for Philo RÉGIS


#Générale#+ source: table décennale 1MIEC863
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Notes for Victor "Pierre" Dit L'Africain RÉGIS


#Générale#ʻ 201E2549 R5 F123 vue1 nʻ468
http://ligeo.archives13.fr/ark:/40700/vta6323827d84b17b74/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_4ecdeb14e724944780dc5d13ce52be3c#id:1365492273?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=2782.678,-922.802&zoom=9&rotation=0.000

+ 201E4184 R1 F119 vue37 nʻ709
http://ligeo.archives13.fr/ark:/40700/vtac83424c8cb25bd30/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_ccc203eb23ced96618d32a8869b916d0#id:169867466?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=2076.851,-994.712&zoom=10&rotation=0.000

surnom cité par http://www.sfhom.com/sfhom/theserogerpasquierlesenegal2.pdf
page 31
Return to Victor "Pierre" Dit L'Africain RÉGIS








































































































































































Notes for Honorade REIGNIER


#Générale#ʻ 202E159 F9 vue10/22
https://www.archives13.fr/ark:/40700/vta621862cae0fcd0ad/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_ca65b4abaf57f349f9be2f43b9c4ee0d#id:1267316018?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1154.944,-603.970&zoom=12&rotation=0.000
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