Notes for Marie Thérèse COLOMB


#Générale#° 201E495 St Martin F206 vue227
http://ligeo.archives13.fr/ark:/40700/vta48123918eb05129f/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_aa934a9fa8e01c3b9217b7ab002c48dc#id:455550396?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=2477.046,-2091.303&zoom=8&rotation=0.000

x 201E1395 Centre R1 vue59 n°29
http://ligeo.archives13.fr/ark:/40700/vtae05611b0997f3eec/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_5d828ae1526cce81a3a49aa20227b78f#id:1803260675?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=2791.192,-1638.597&zoom=9&rotation=0.000

+ 201E1452 Midi R2 vue12
http://ligeo.archives13.fr/ark:/40700/vta6383cf69574f0a1e/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_80fe5ccc8f62b002943edd410a9f2c8f#id:555539457?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=2526.784,-1601.085&zoom=8&rotation=0.000
Return to Marie Thérèse COLOMB






























































































































Notes for Françoise COLOMBE


#Générale#X 201E2246 vue2/2
https://www.archives13.fr/ark:/40700/vta3241ced40da1ed36/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_078767464048db85715a72919f33279e#id:1544607324?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1415.950,-1169.050&zoom=8&rotation=0.000
Return to Françoise COLOMBE




















































































Notes for Marguerite COLOMBE


#Générale#X source
https://gw.geneanet.org/cordeauc?lang=fr&iz=3098&p=antoine&n=bouthier
Return to Marguerite COLOMBE


















































































































































































































Notes for Andrée COMTE


#Générale#En 1995, atteinte d'une grave maladie des yeux, est fortement
handicapée. 

Elle demeure à Draguignan : Le Renouveau 4 - 98 av Morgay -
En Novembre 1993, elle vint chez Claudette et raconta ses souvenirs:
       JEAN MUZI, Magistrat à Corte avait épousé une demoiselle de MONTERA.
Ils vinrent en Tunisie avec leurs enfants après avoir eu leur maison
incendiée par un bandit et s'être réfugiés quelques temps chez leur
fermier et y moururent. Ils avaient un garçon, Jean, une fille célibataire
qui mourut chez sa soeur Marie-Josèphe en 1933 à Marseille, Quartier de Bois
Luzy, une autre fills Anna et Marie-Josèphe dite Josèphine. Il y avait aussi
Toussaint MUZI, Commissaire de Police en Corse, puis en Tunisie qui mourut
jeune d'un cancer, il eut une fille Laura qui mourut à Paris à 18 ans après
rupture avec ses parents, il y avait aussi une autre fille et un garçon.
ANNA MUZI épousa Mr FILORI à Tunis. Elle était si fine et si brune qu'on
l'appelait "le petit Saxe". Ils eurent un fils César qui fit de brillantes
études en France. Ambitieux, brillant, il devient journaliste avant la guerre
de 39-45. Il rejoint le gouvernement de Vichy, grand éditorialiste il est
dans l'entourage immédiat de Laval. C'est un homme très beau, grand, mince,
au langage châtié. Il épouse la Comtesse Vanina d'ORNANO (de la 
famille de Michel et Anne d'Ornano). Ils ont un fils, Jean-Michel, né en 1934
qui travaille à l'O.N.U. A la Libération, César qui s'était sauvé en
Espagne, fut condamné à mort par contumace.Il vécut en Espagne pendant
environ 15 ans puis en Angleterre. Il fut enfin relégué en Corse où il
mourut.
Une cousine de Josèphine MUZI-CHABERT du côté des de MONTERA, Agnès FELCE
de ROUVILLE, habita le Chateau de Rochegude à Chamaret dans la Drôme, près
de Grignan. Elle eut trois enfants : - Vincent né vers 1914 qui a eu un
garçon et une fille,nés dans les années 40, le garçon fit sa pharmacie, la
fille fut assistante sociale, ils partirent tous deux pour la Nouvelle
Calédonie . - Angèle morte vers 13 ans du coeur après une scarlatine.
-Charlotte qui a épousé un médecin vers Orange, qui a eu aussi 3 enfants
très brilants. Ces trois "cousins" sont tous nés avant 1924.
MORO de GAFRERI,avocat de renom, ténor du Bareau de Paris était aussi cousin
de Josèphine MUZI.
                             -----------------
LES CHABERT -Pierre CHABERT 1842-1927, fit ses études de pharmacie à
Marseille qu'il terminé par un voyage d'agrément avec un ami à Alger. Là
ils apprennent qu'il y a une épidémie de choléra en Tunisie(1865-1866) et
décident de partir pour Tunis. Le désastre est tel qu'il contacte le
gouvernement français car rien n'existe à Tunis, ni ambassade, ni
protectorat,il prend en mains la lutte contre le choléra, soignant sans
compter avec un dévouement sans bornes. A la suite de cette épidémie il met
les responsables arabes en contact avec les diplomates français en vue de
l'établissement d'un protectorat. Pierre CHABERT recevait à sa table le
Cardinal LAVIGERIE (qui appréciait fort le poisson en papillotte préparée
par la cuisinière), les représentants du gouvernement français. Sa table
était réputée, vaisselle en argent....Trois de ses fils, Félix, Henri,
Fernand, étaient pensionnaires chez les Jésuites à Marseille puis ils
firent leurs études de pharmacie. Les fils s'occupaient des pharmacies
pendant que leur père avait une vie publique très prenante, Député de la
Nation, Président de la Chambre de Commerce de Tunis, il participa activement
aux campagnes de fouilles de Carthage. Il avait un appartement à Paris, en
face FAUCHON, faisait les saisons à Vichy et possédait une propriété à
Marseille à Ste Anne. Pierre CHABERT meurt en 1927, son fils Felix CHABERT et
sa famille quittent la Tunisie en 1928 et s'installent à Ste Anne à
Marseille.  La maison est immense, trois niveaux, glaciale, dans un grand parc
touffu dont l'entrée est garnie de statues. L'hiver fut très froid avec
neige et verglas. Félix glissa sur le perron, dévalla les escaliers, se
cassa la hanche et le coccyx. A partir de cette époque il claudiquera,
restera souvent assis. Il a 56 ans, son père lui a laissé 4.000 francs or.
Déjà il ne travaillait plus depuis longtemps.Vélléitaire à la maison,
c'était un homme très doux qui s'emportait violemment, puis tout retombait
à plat brusquement sans raison. Honorine, son époux, Henri COMTE qui avait
été nommé chef du central téléphonique à la Poste Colbert à Marseille,
et leurs enfants habitaient aussi la grande maison Chabert, ainsi que Pierre
le fils de Félix qui fait ses études d'ingénieur électricien à St
Barnabé et Jean qui a 17 ans. sans oublier la soeur ainée de Josèphine,
Antoinette MUZI qui est célibataire.Vers 1929-1930, cette grande propriété
fut vendue, le terrain fut morcelé et une rue prit le nom de "Rue CHABERT".
Toute la "smala" partit pour un autre quartier de Marseille, St Barnabé,
exactement à Bois Luzy où ils achetèrent une villa "La Sandrinette" avec un
grand jardin, le climat était meilleur, moins froid, surtout moins humide.
Pierre était déjà malade et Jean fragile des bronches. Josèphine MUZI
CHABERT, d'une capacité d'amour inégalée, patiente, douce possédait une
très grande force de caractère. Elle portait tout le monde, ses frères et
soeurs, ses enfants, Pierre tuberculeux, Jean fragile et d'un caractère très
difficile. Pierre était un musicien dans l'âme, sans connaitre la musique,
il pouvait rejouer au piano tous les airs d'opéra, il avait une voix de
baryton merveilleuse, il écrivait en prose ou en vers très brillamment. "Un
être pareil, aussi doué, ne pouvait pas vivre longtemps" disait de lui sa
soeur Honorine. Quant à Jean, c'était autre chose ! Enfant gâté et
capricieux il a révé sa vie. Il a créé une usine de ferronerie que ses
parents ont financée et qui a fait faillite. Puis il acheta une librairie, Bd
Longchamp toujours avec l'aide de ses parents, qui ne marcha pas non plus. Il
se fit acheté les plus grosses moto. Finalement il fit des études
d'Agriculture pour devenir colon comme son ami de Medjez-el-Bab Jean HAWADIER.
'est lors d'un stage chez un propriétaire de TRETS, Marius MISTRE, qu'il
rencontra sa future femme Irène. Il fit à nouveau faillite sur une
propriété qu'avait acheté son beau-père à Aix, "La Providence" et
s'engagea dans l'armée. Après un séjour à Thionville avec sa femme et ses
deux filles, il se retrouva en Tunisie. Jean était un mythomane qui vivait à
travers les réussites des autres, son grand-père, son ami Hawadier
......Jean pouvait être tendre, charmeur, affectueux, tout autant que
violent, instable avec la folie des grandeurs
                                                  Andrée LACH COMTE
                         -_-_-_-_-_-_-_-_-_-_

              " Il est très douloureux d'entendre un tel réquisitoire contre
son propre père. Mais il est vrai aussi que toute entreprise généalogique,
doit à mon avis s'attacher à la recherche et à la mise au grand jour de
tant et tant de secrets, de non-dits, de délires de persécution ou de
grandeur. 
Les faits étant découverts et dits, il convient non seulement de se garder
de tout jugement, mais surtout d'essayer de comprendre le pourquoi de tels
comportements et leurs conséquences sur les autres membres de la famille et
sur la descendance.
               Il est évident que les connaissances psychologiques actuelles
nous éclairent et doivent nous aider à ne pas tomber dans les mêmes
travers. En ce qui concerne mon père Jean CHABERT, les propos de ma cousine
Andrée si douloureux soient-ils ne font que confirmer ce que j'ai vécu tout
au long de ma vie.
      L'ombre de son grand-père plana sur toute sa vie et par voie de
conséquence sur celle de ma mère. Cette dernière détestait les MUZI et je
crois qu'il en était de même pour mon père, il ne parlait des Corses
qu'avec mépris et je ne l'ai jamais entendu s'élever contre les propos de ma
mère quand celle-ci évoquait la "smala MUZI". Il ne nous a jamais parlé de
ses grands parents ni de ce qu'avait pu être la vie de sa mère enfant.
J'ignorais l'existence de son oncle Jean-Silius à Sfax !
      La teneur de ses propos durant son "stage agricole" chez son futur
beau-père Marius MISTRE à Trets (13) laissaient croire qu'il était un grand
spécialiste et si quelques inconhérences apparaissaient, il se tirait
toujours d'affaires en invoquant la différence avec les propriétés et les
modes de gestions des fermes tunisiennes!. Son beau-père acheta cette
magnifique propriété de "La Providence" à Aix afin que le jeune ménage
soit indépendant et gère ses affaires, mais il entendait avoir un droit de
regard sur les résultats, bien lui en prit. Suite aux premières vendanges,
Jean refusa de se plier aux conventions établies entre eux. Après un
affrontement mémorable, nul ne sut ce qu'il advint du produit de la vente
.... La colère de Marius MISTRE fut terrible, pour la première fois de sa
vie Jean se trouvait devant quelqu'un qui ne se laissait pas faire. Alors, il
partit. Au bout de huit jours, quand il revint : il s'était engagé dans
l'armée!!

                                          Claudette PARANQUE CHABERT
Return to Andrée COMTE










































Notes for Anna Marie COMTE


#Générale#° NC17140 n°17 vue11/12
https://archives.ardeche.fr/ark:/39673/vta54be4a80e7d6c208/daogrp/0/11

X 4E2734-25 n°1 vue3/4
https://archives.ardeche.fr/ark:/39673/1086764/daogrp/0/3
Return to Anna Marie COMTE