#Générale#x 201E779 Les Accoules F17 vue17 http://ligeo.archives13.fr/ark:/40700/vtaf830548a5a9fd16a/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_04bd833d9192c717cee4728c50b3697f#id:1857475146?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=2906.594,-1498.204&zoom=9&rotation=0.000
#Générale#x 201 E 147 La Major F49 vue53 http://ligeo.archives13.fr/ark:/40700/vta00b425bd60d67521/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_db968115bf52bf61f6720c26abcf0aaa#id:1522658187?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=2464.249,-1399.596&zoom=9&rotation=0.000
#Générale#En date du 27 Janvier 1995 et sur les conseils de ma grande amie Colette MAGNIER-CLIVIO, j'écrivais à sa tante Gisèle ARLES DES ARNAS-GUIOL. Celle-ci me répondait le 9 Février : " Ma chère Claude - Nous sommes parentes, vous êtes une amie de ma chère Colette et je trouve le "Madame" bien cérémonieux, aussi me permettrez-vous de vous appeler Claude et pour information, je m'appelle Gisèle Votre lettre m'a beaucoup intéressée mais malheureusement je n'ai pas de réponses précises à vous donner, seulement des suppositions. J'ai téléphoné à ma cousine Miette BARTHELEMY, fille de Cécile GONDOIS pour savoir si ses souvenirs étaient plus sûrs que les miens. Elle pense comme moi que la rupture entre les familles GONDOIS et PARANQUE a pour origine une question d'argent, soit lors d'une succession, soit lors de la faillite d'Henri PARANQUE, lorsque mon grand-père Gustave GONDOIS a racheté aux PARANQUE, leur propriété de Rochebelle à Mazargues, pour 5O.OOO frs environ. C'était très bon marché mais indépendant de sa volonté puisqu'il s'agissait d'une vente aux enchères. Cela se passait en 1890 et la réconciliation a eu lieu en 1931 à la mort de mon oncle Gabriel GONDOIS. Je me souviens très bien des visites que faisaient Claire et Augustin PARANQUE à Rochebelle lorsque j'étais enfant. Mais il est possible aussi que la dispute entre les familles ait eu lieu à la mort de l'oncle Eugène LABATUT, (frère de Cécile épouse d'Henri PARANQUE, de Léonie épouse de Théodore OLIVIERI et de Gaudentie, épouse de Gustave GONDOIS). Eugène LABATUT n'avait plus d'argent (voir fiche à son nom) mais il possédait beaucoup de tableaux de peintres provençaux : MONTICELLI, avec qui il peignait et dont il était l'ami, GUIGOU, etc..., mais ces tableaux avaient-ils une valeur en 1925 ? Par testament, il a laissé tous ses tableaux à son neveu Raphël GONDOIS, fils de Gaudentie LABATUT et Gustave GONDOIS, frère de ma mère Agnés GONDOIS, épouse de Emile ARLES DES ARNAS. Peut-être que Cécile PARANQUE et Léonie OLIVIERI soeurs d'Eugène reprochèrent-elles à leur neveu Raphaël et à sa femme d'avoir fait pression sur Eugène qui habitait la même maison qu'eux pour qu'il leur laisse tout ? Nous croyons nous souvenir avec Miette que nos mères, Cécile et Agnès soeurs de Raphaël, n'avaient pas été contentes non plus... cependant on ne parlait pas de ces choses là devant les enfants. Mais cette affaire n'a jamais détérioré les relations entre nos parents, ni nos réunions ni l'affection que nous nous portions. De plus ce qui est certain c'est que mon oncle Raphaël GONDOIS et son fils Gustave ont toujours géré tous les biens que nous avions en indivision avec compétence, efficacité et désintéressement jusqu'en 1982, date de la vente de Rochebelle, notre dernier bien en commun, que nous, la famille ARLES, habitions. Avec les PARANQUE, les GONDOIS, les ARLES, et les BARTHELEMY (Cécile, soeur de ma mère Agnès, épouse Joseph BARTHELEMY), nous avons au cimetière St Pierre à Marseille, un tombeau en commun où sont enterrés les ARLES et les GONDOIS. Il faudrait faire une réduction de corps mais pour cela il faut une autorisation de tous les descendants ......... J'ai photocopié les documents de la famille GONDOIS LABATUT pris dans les MEMOIRES de mon frère JACQUES ARLES DES ARNAS, je vous les envoie. Je vous fais refaire des photos de ROCHEBELLE avec mon grand-père Gustave Gondois, mes parents, mes tantes Gondois et l'oncle Eugène LABATUT. Je crois vous avoir dit tout ce que je savais. Nous avons tous un grand sens et un grand amour de la famille. Je pense que nous le devons à nos ancêtres, malgré les disputes et les divergences qu'il y a pu avoir. Chez les ARLES, nous faisons "une cousinade", c'est-à-dire un repas tous les 4 ou 5 ans et sur 102 descendants à l'heure actuelle, nous sommes environ 80 à 90 à nous retrouver et....... je suis la doyenne. Je serai très heureuse de vous rencontrer. Si vous venez à Marseille, je peux vous offrir le gîte et le couvert. Même une lointaine cousine, c'est "ma" famille et je la reçois avec grand plaisir. Bien amicalement - Gisèle GUIOL -
#Générale#ʻ 2E215-GG3 vue14/30 https://archives.aveyron.fr/ark:/11971/vta52e2c2aadd258/daogrp/0#id:55490012?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1004.2136832000001,-1978.11923712&zoom=8
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